A la St Robert prend ton verre et ton Marcel

ça donne dans le festif
C’est la Haute Loire qui débarqua à Lacour , il y a un défi à relever
Soyez en forme.
 C'est une veille de fête , c'est parti pour la nuit (4h)

Du reggae, du rock, du ska, du punk, de la valse ou simplement de la   chanson ?
  Difficile de donner un style aux Vieilles Valises. Tout ce qu’on peut dire c’est   qu’elles en ont un, du genre éclectique. D’ailleurs, tout le monde s’y   retrouve d’après ce qu’on dit.
  Sorties de leur grenier en 2004, elles n’ont pas vraiment eut le temps de   prendre la poussière.

  En effet depuis le début les concerts s’enchaînent mais ne se ressemble pas.   Sur scène, dans la rue, dans une cave, dans une grange, sur une plage,  dans  une grotte, dans un bois, dans un pré, sur une remorque, sur un toit,   sous un  chapiteau, sur un parquet de bal, sur un quai, sous un pont… Elles   jouent  partout ! Rien ne les arrête (à part les flics).

  « Des acharnés » diront certains, « pas trop sérieux » vous diront d’autres, je   dirais surtout une bande de potes.

Voir le site http://www.lesvieillesvalises.fr/:
http://www.lesvieillesvalises.fr

Reynaud Sylvain

La Rencontre

 

A la base, il y a Sylvain, lycéen, qui écrit des chansons dans son coin, pour le plaisir et pour les potes, tout en débutant l’accordéon sur un vieux diatonique hérité de son grand père.

Il était d’ailleurs dans le lycée lorsque se fit la première rencontre.

Il joue des vieux classiques de Rock n’ Roll sur un banc dans la cour avec une vieille guitare folk quand un jeune trapu vient lui proposer l’accompagnement. C’était Nicolas, aujourd’hui percussionniste des Vieilles Valises. Le temps d’une récréation il a sorti de son sac harmonicas, flûtes, massues, diabolo et plein de trucs bizarre. Le courant passait bien, ils commencèrent à traîner ensemble.

Peu de temps après, un professeur s’intéresse à eux, il s’appelle Yvan Marc. Cet auteur, compositeur, interprète, les prend sous son aile dans un groupe qui s’appellera « Yvan Marc et ceux qui jouent assis ».

Grâce a lui, les deux gamins de 19 ans enchaînent de nombreux concerts dont des premières parties plutôt prestigieuses (La Rue Kétanou, Mickey 3D, Blankass, Debout sur le Zinc…).

Et c’est durant cette période et dans ce groupe que les rejoint un bassiste, Yannick .Il est allergique au fromage mais il est sympa et fit rapidement partie intégrante du groupe.

Au bout d’un an et demi et d’une soixantaine de concerts l’esprit de groupe s’essouffle (mais pas le succès), les envies divergent et la contrainte des études pousse les jeunes artistes à se séparer.

Sylvain, Yannick et Nicolas vécurent cette aventure comme une extraordinaire expérience et continuèrent à jouer ensemble de bringues en bringues, semaines après semaines.

Mais j’oublie quelqu’un dans cette histoire, Lionel, le guitariste. Lionel (surnommé Mon’s) et Sylvain ont réellement commencé à se connaître en Espagne. Mais ça, c’est une autre histoire!

Les 4 compagnons* se sont peu à peu réunis dans la quête du week-end le plus musical et déjanté pour brûler leur jeunesse.

C’est d’ailleurs lors d’un de ces week-end qu’ils se firent remarquer par le président de l’association « Scratchatoum ».En échange d’une démo enregistrée au magnétophone, ils purent participer à un tremplin à St Maurice de Lignon le 24 avril 2004. Ce fut leur premier vrai concert. Ils remportèrent ce tremplin de façon inespérée se voyant offrir un enregistrement 4 titres.

En résumé : Youpi !