
I JAH MAN + Mighty Diamonds
Du bon, chaud, et authentique reggae avec ce plateau pour le moins exceptionnel !
Mighty Diamonds et I Jah Man, font partie de ces groupes les plus populaires des 70's en Jamaïque. Une moyenne de 35 ans de carrière, et à eux deux plus de 50 albums... leur influence et leur réputation sont comparables à celles de Sly & Robbie, de Culture ou des Gladiators. Toujours en activité, toujours unis, toujours militants, I Jah Man et Mighty Diamonds, entretenant ainsi leur légende, continuent à tourner dans le monde entier et à enregistrer pour la plus grande joie des amateurs du genre.
Big Youth et Mighty Diamonds en 2003
Les Mighty Diamonds
constituent l'un des groupes les plus populaires des seventies en Jamaïque. Ils font leurs armes au studio One et un passage non moins remarquable au studio Channel One.
Leur particularité majeure est d'allier voix infiniment soul, harmonies épurées et messages militants, conséquences directes d'une authentique philosophie Rasta. Leur répertoire est constitué de standards repris jusque dans le Dancehall actuel : de " Shame and Pride " à " Pass the Kutchie " en passant par " Right Time " ou " Deep Roots ", il prend toute sa dimension sur scène dans une énergie hors du commun.
La séance de dédicaces
Ijahman Levy
Un des artistes les plus mystiques du roots reggae. Trevor Sutherland de son vrai nom, est né en 1946, à Manchester, en Jamaïque. Il passe son enfance dans l'un des ghettos les plus chauds de Kingson : Trenchtown… très tôt passionné par la musique, ces influences à l'époque furent Alton Ellis et Joe Higgs. Il commence à chanter dans la rue, c'est là où il rencontre Bob Marley, qui faisait la même chose que lui à quelques rues de là . Puis il travaillera avec la crème des producteurs du pays.
Ce vétéran jamaïquain du reggae roots a tout connu. 1er single à 18 ans, émigration en Angleterre, prison, rastafarisme rédempteur... Tout au long de ses 27 albums et de centaines de concerts torrides, son reggae mystique et libertaire a su conjuguer la vieille vibe de Kingston et le cosmopolitisme moderne de Londres.
La pochette de l'album I Do qui a déjà bien tourné sur les platines de Lacour